Enregistrements

Études, Nocturnes & Sonate d’Hélène de Montgeroult avec Beth Taylor (mezzo soprano) & Nicolas Mazzoleni (violon), sur un piano-forte carré de Neuhaus, Paris 1817, restauré par Matthieu Vion. 

« Les études sont de touchantes miniatures qui préfigurent le romantisme. L’énonciation claire de Marcia Hadjimarkos, son phrasé sensible, la diversité des registrations choisies – le ‘céleste’ saisissant par son subtil halo, le ‘basson’ conférant une note dramatique, le ‘luth’ volontiers mutin – ajoutent du relief à ces pages. Ses complices ne sont pas en reste: le timbre chaleureux de Beth Taylor et le violon plutôt délicat de Nicolas Mazzoleni l’accompagnent dans ce voyage aux nuances multiples. » Diapason

Disponible chez votre disquaire, via le label Seulétoile, et sur les plateformes de téléchargement.

De la musique minimaliste de Satie, Skempton, Pärt, Monk, Tailleferre, Mompou, Cage & Glass sur un Steinway B de 1889. 

« Joué avec amour et avec une profonde sensibilité au contenu expressif. L’intentionnalité de la programmation de Marcia ajoute beaucoup au plaisir que j’ai eu à écouter cet album. Le son qu’elle obtient de son piano reflète sa formation et son expérience. Il y a une clarté et une délicatesse de toucher que je remarque souvent sur les enregistrements des instruments à clavier anciens, et je soupçonne que sa formation influe sur sa sonorité… C’est un album auquel je reviendrai certainement de nombreuses fois, et je le recommande vivement aux lecteurs qui s’intéressent aux enregistrements de piano solo. L’excellente qualité sonore de l’enregistrement est tout simplement la cerise sur le gâteau de cet album captivant. C’est un son pur, et un pur plaisir à écouter. » Positive Feedback

La Sonate D850 et deux séries de danses allemandes de Schubert, sur un piano-forte d’après Fritz (1814) réalisé par Christopher Clarke.

« Tout ce que touche Marcia Hadjimarkos semble se transformer en or ; en voilà un nouvel exemple. Ses récitals et ses enregistrements ne manquent pas d’enchanter et de divertir. Ses prestations font toujours preuve d’élégance et de classe; elle joue avec une facilité technique qui paraît sans effort, mais qui est invariablement au service de la musique. Cet enregistrement ne fait pas exception. » Historical Keyboard Society of North America Newsletter
« L’interprétation fait ressortir la grandeur extravertie, la délicieuse légèreté et les mélodies délicates de Schubert avec une grâce et un charme tout viennois. Le livret est plein de poésie. Marcia Hadjimarkos connaît bien son instrument et elle en joue avec facilité et exubérance. » Harpsichord & Fortepiano

La Simphonie du Marias, Hugo Reyne, (csakan – Hungarian flute-cane), Marcia Hadjimarkos (fortepiano) P. Couvert & Frank Pichon (violin), S. Raban (viola), D. Dujardin (cello)

« L’originalité, l’esprit et l’humour de ce projet n’étonnent guère de la part du fondateur de la Simphonie du Marais (…) Ce disque vaut d’avantage par l’esprit que par la lettre, procurant le plaisir un rien frivole de découvrir un instrument aussi improbable qu’éphémère, écho encore inouï à nos oreilles de la Vienne Biedermeier. » Diapason
« Car plus que le csakan, la révelation de ce disque est le pianoforte, avec la variété incroyable de ses jeux. L’utilisation successive du jeu de basson, et surtout du ‘janissaire » créent une surprise tellement énorme que ceux qui ne le mentionnent pas n’ont probablement pas écouté le disque. » Classiqueinfo-disque.com

Des Canzonettas et airs de Haydn avec Emma Kirkby, sur un piano-forte d’après Walter réalisé par Christopher Clarke.

« Marcia Hadjimarkos montre habilement toute la gamme de couleurs et de subtilités des accompagnements au piano de Haydn. (…) Les dispositifs de l’instrument, actionnés par la main ou le genou, offrent des sonorités caractéristiques ; le « basson » est utilisé à bon escient dans ‘The Battle of the Nile’. »  Gramophone« …Que de raffinement un peu partout. (…) Marcia Hadjimarkos tire d’un piano-forte Walter une gamme de couleurs sensuelles et feutrées ainsi que des effets évoquant la saveur d’un petit orchestre. (…) On reste ébahi par la longévité et l’intelligence poétique de Dame Emma. »  Diapason

Trois sonates & trois rondos sur un piano-forte d’après Lengerer (1793) réalisé par Christopher Clarke.

« Mis à part la merveilleuse sensibilité de son toucher, deux éléments du jeu de Marcia Hadjimarkos ressortent ici : son approche très souple au tempo et son ornementation spirituelle, parfois audacieusement abondante, mais toujours idiomatique. En un mot, ceci est le plus satisfaisant enregistrement de Mozart sur le piano-forte que j’aie entendu depuis plusieurs années. Nous en voulons plus, s’il vous plaît, et aussitôt que possible ! » Goldberg
« Ceux dont l’oreille est attentive aux beautés multiples de l’instrument que Mozart connaissait et chérissait (…) ne trouveront sans doute pas d’interprétation plus imaginative, robuste ou tendre que celle de Marcia Hadjimarkos. Très chaleureusement recommandé. » Fanfare

Des pièces de caractère, 2 rondos et une fantaisie de C.P.E. Bach sur un clavicorde d’après Hubert (1772) réalisé par Thomas Steiner, et un piano de Ferdinand Hoffmann (vers 1790).

« Le jeu de Marcia Hadjimarkos est superbe de bout en bout : dynamique, libre, et formé avec une puissante assurance. On ne peut espérer qu’elle continuera à enregistrer la musique de C.P.E. Bach : elle le fait tout aussi bien que tout autre clavieriste actuel. » Fanfare
« Et du goût comme de la finesse, la talentueuse Marcia Hadjimarkos n’en manque pas. » Télérama 

Six Sonates de Haydn sur un clavicorde d’après Hubert (1772) réalisé par Thomas Steiner.

« On ne comparera cet enregistrement à aucun autre. Troublant clavicorde ! Marcia Hadjimarkos sait trouver dans sa stupéfiante variété d’attaques, de timbres et de nuances, la combinaison qui fait jaillir du texte une éloquence inattendue. Une rareté et un joyau, ô combien ! » Diapason
« Cet album est une révélation, car il étend la portée du clavicorde au-delà de tout ce dont on aurait pu rêver. (…) Elle joue avec une énergie et une virtuosité sans bornes, prenant des risques à des tempi d’enfer sans jamais dégringoler, et ceci sur un instrument qui est notoirement difficile à maîtriser. » British Clavichord Society Newsletter